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Mercredi 30 Janvier 2013



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carnaval de venise theophile gautier
 


Hebergeur d'image
Théophile Gautier Poète et écrivain à Venise
(1811-1872)

Affinités Secrètes
Madrigal Panthéiste
Dans le fronton d'un temple antique,
Deux blocs de marbre ont, trois mille ans,
Sur le fond bleu du ciel attique,
Juxtaposé leurs rêves blancs;

Dans la même nacre figées,
Larmes des flots pleurant Vénus,
Deux perles au gouffre plongées
Se sont dit des mots inconnus;

Au frais Généralife écloses,
Sous le jet d'eau toujours en pleurs,
Du temps de Boabdil, deux roses
Ensemble ont fait jaser leurs fleurs;

Sur les coupoles de Venise
Deux ramiers blancs aux pieds rosés,
Au nid où l'amour s'éternise,
Un soir de mai se sont posés.

Marbre, perle, rose, colombe,
Tout se dissout, tout se détruit;
La perle fond, le marbre tombe,
La fleur se fane et l'oiseau fuit.

En se quittant, chaque parcelle
S'en va dans le creuset profond
Grossir la pâte universelle
Faite des formes que Dieu fond.

Par de lentes métamorphoses,
Les marbres blancs en blanches chairs,
Les fleurs roses en lèvres roses
Se refont dans des corps divers.

Les ramiers de nouveau roucoulent
Au coeur de deux jeunes amants,
Et les perles en dents se moulent
Pour l'écrin des rires charmants.

De là naissent ces sympathies
Aux impérieuses douceurs,
Par qui les âmes averties
Partout se reconnaissent soeurs.
Docile à l'appel d'un arome
D'un rayon ou d'une couleur,
L'atome vole vers l'atome
Comme l'abeille vers la fleur.

L'on se souvient des rêveries
Sur le fronton ou dans la mer,
Des conversations fleuries
Près de la fontaine au flot clair,

Des baisers et des frissons d'ailes
Sur les dômes aux boules d'or,
Et les molécules fidèles
Se cherchent et s'aiment encor.

L'amour oublié se réveille,
Le passé vaguement renaît,
La fleur sur la bouche vermeille
Se respire et se reconnaît.

Dans la nacre où le rire brille,
La perle revoit sa blancheur
Sur une peau de jeune fille,
Le marbre ému sent sa fraîcheur.

Le ramier trouve une voix douce,
Écho de son gémissement,
Toute résistance s'émousse,
Et l'inconnu devient l'amant.

Vous devant qui je brûle et tremble,
Quel flot, quel fronton, quel rosier,
Quel dôme nous connut ensemble,
Perle ou marbre, fleur ou ramier ?

Théophile Gautier - Émaux et Camées

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Mardi 29 Janvier 2013

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Humour Vieillesse...........
 


Une définition de l'humour, mot anglais venant du français humeur.
- Tour d'esprit qui consiste, en présence d'une situation ou d'une idée insupportable, à la nier en soulignant les contradictions qu'elle comporte ou en exagérant à l'extrême ses éléments absurdes, angoissants ou terribles.
- Critique de soi aussi bien que du monde, l'humour ne se confond ni avec la volonté de comique, ni avec la fantaisie, ni avec l'ironie.
- L'humour noir traduit l'amertume ou le désespoir devant l'absurdité du monde.

« J'avance dans l'âge, mais je ne vieillis pas, je me patine...

l'avancée en âge...
« Vous êtes comme moi des sursitaires, car de la vie vous ne sortirez pas vivants.- Sursitaire, soit, mais en sachant gai rire... avant de mou rire ! »

« En vieillissant, j'ai beaucoup maigri de l'âme. » Paul Carbonne

« La jeunesse, on peut en dire ce que les riches disent de la fortune : elle est plus facile à gagner qu'à conserver. » René Clair

« L'un : Jeanne Calment à 122 ans, a beaucoup duré - L'autre : C'est normal à son âge qu'elle ait un peu d'urée ! » Dialogue de sourd
« On n'a que l'âge de ses obsèques. » Francis Blanche

« Mon mari est archéologue. Plus je vieillis, plus je l'intéresse. » Agatha Christie

« Il appréciait la retraite. Ce qui le chagrinait toutefois c'était de ne pas avoir de congés payés ! » Auteur non connu

« Et dire que les vieux arbres sont si beaux ! Hélas, on n'est pas de bois. » Henri Duvernois

« Vieillir : c'est jusqu'ici le seul moyen connu de ne pas mourir. » Sainte-Beuve


« Être vieux, c'est quand on tutoie tout le monde et que personne ne vous dit "tu" » Marcel Pagnol

« Il n'y a pas de milieu. Quand on n'est plus jeune, on est vieux et à partir de cinquante ans, on est tous du même âge. » Georges Courteline

« Rencontrant une dame qu'il n'avait pas vue depuis très longtemps un homme d'âge hésitait : "Comment ! dit la dame, vous ne me reconnaissez pas? - Hélas! madame; j'ai tant changé!". » Émile Faguet

« La vieillesse a beaucoup d'avantages. Lequel par exemple ? » Gene Fowler

« La vie est un compte de faits. » Henri Jeanson

« Préretraités : partie de la population mise en jachère sous prétexte qu'il y à des gens à caser. » Auteur non connu

« Les vieillards et les comètes ont été vénérés pour les mêmes raisons : leur longue barbe et leur prétention à prédire les événements. » Jonathan Swift

« Sachant que vous êtes immortel, comment organisez-vous vos journées ? » Jean Tardieu

« Ce qu'on appelait autrefois l'âge mûr a disparu. On reste jeune très longtemps, puis on devient gâteux. » Alfred Capus

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Lundi 28 Janvier 2013

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village de cotignac dans le var
 



Cotignac

Avec son célèbre rocher, son attrait touristique et sa vocation artistique, ce village aux contrastes saisissants charme avec plaisir. Au fond d'une vallée barrée par l'immense falaise d'où tombe une cascade, il occupe une place importante parmi les sites du Haut Var.


Au fil de la visite de Cotignac : village du Pays d'Art et d'Histoire de La Provence Verte


Cotignac se blottit au pied d’un immense rocher de tuf de 400 mètres de long sur 80 mètres de haut, qui abrite des habitations troglodytiques. Au cours des siècles, ces grottes ont connu divers usages. A l’ère quaternaire, la rivière La Cassole, coulait par dessus le rocher. Le village actuel n’était alors que la base de cette immense chute d’eau. Depuis les années 1000 et ce jusqu’au XIX ème siècle, cette rivière a été détournée et passe à présent à l’est du village et se jette dans l’Argens. C’est donc les chutes de cette eau qui ont formé toutes les anfractuosités, les stalactites et les stalagmites.Il est difficile d’assigner une date précise à l’origine de Cotignac. Néanmoins, on sait qu’un premier village, dont on date une présence dès l’époque féodale, était installé au sommet de cette barre rocheuse, au lieu-dit «Saint-Martin », hameau qui existe encore aujourd’hui. Au cours des invasions sarrasines, même si elles n’ont pas été fréquentes à Cotignac, le village est descendu pour venir se blottir au pied de ce rocher, barrière naturelle infranchissable. C’est ainsi qu’à partir des années 1000, un deuxième village s’est installé et en 1032, un premier château a été construit à proximité. On ne peut dénombrer la population de l’époque. On sait seulement qu’en 1266, le nombre d’habitants était devenu assez important pour construire l’Eglise Saint-Pierre, l’église actuelle.Ce rocher, avec ses habitations troglodytiques, servaient alors de cachette pour les habitants, leurs troupeaux et leurs vivres pendant les périodes d’invasions. Il aurait existé d’ailleurs une grotte assez grande pour contenir tous les habitants et leurs troupeaux quand il fallait se cacher. Il reste encore des vestiges des travaux effectués par l’Homme afin d’aménager ces espaces : creusement du tuf, chaux sur les murs pour éviter l’humidité, construction de terrasses, de foyers, de potagers, d’escaliers… D’autres cavités, au pied du rocher, servaient également d’abris pour les animaux : loges à cochons, à foin… et l’on peut voir encore des morceaux de mangeoires, de râteliers, de pigeonniers… Par ailleurs, le rocher fut également, et ce jusqu’à la fin du XIX ème siècle, une carrière très active. Pour construire le village actuel, on creusait la roche pour en extraire des pierres et on comblait des caves avec les gravats qui ne servaient plus. Le nombre de cavités a donc évolué au cours du temps, selon les usages que l’on en faisait. A partir du XIV ème siècle, une vie et une activité économique se sont développées autour de ce rocher. L’hospice de la charité a été installé ici en 1314, puis des moulins à farine accolés au rocher, fonctionnaient grâce à l’eau de la Cassole. Aujourd’hui, le Rocher est le symbole de Cotignac et de son histoire.


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Dimanche 27 Janvier 2013

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humour.
 


L'argent ne fait pas le bonheur mais il est plus confortable de pleurer en Mercedes qu'à vélo.

- Pardonne à ton ennemi mais n'oublie jamais le nom de ce con.

- Aide ton prochain quand il est dans la merde et il se souviendra de toi quand il y sera à nouveau.

Beaucoup de gens sont en vie seulement parce qu'il est illégal de les tuer
.

- L'alcool ne résout pas les problèmes ... mais le lait non plus.

Un prêtre sonne chez les parents du petit Antoine, qui ouvre la porte.
> > Le prêtre dit :

- Je t'apporte clarté et lumière ...

Antoine appelle sa mère :

- Maman, c'est l'EDF !

Une dame se penche du haut de la Tour Eiffel et demande au gardien :

- Les gens se jettent-ils souvent d'en haut?

Et le gardien répond :

Oh non! Madame, une seule fois ...

> Un couple de campagnards ‘monte’ à Paris pour faire un peu de tourisme.

A la Porte Maillot, il prend un bus pour aller au musée du Louvre.
> > Arrivé à la place de l’Etoile, le chauffeur lance :
> > - Charles de Gaulle !
> > Un grand monsieur descend du bus
> > Le bus prend alors la direction des Champs-Elysées et, à l’arrêt du rond-point, le conducteur crie :
> > - Franklin Roosevelt !
> > Un étudiant se lève et descend. A la nouvelle halte au niveau du Grand Palais :
> > - Georges Clemenceau !
> > Un vieux monsieur quitte le bus. Alors, la campagnarde dit à son mari :
> > - On ne saura jamais où descendre ; on n’a pas donné notre nom au chauffeur.

Un vieux monsieur fréquente le même club du troisième âge qu'une veuve qu'il aime secrètement.

Un jour, prenant son courage à deux mains, il la demande en mariage et elle accepte avec enthousiasme.
> > Le lendemain le vieux monsieur lui téléphone.
> > - Ce que j'ai à vous dire est un peu embarrassant ; hier je vous ai demandée en mariage, et je ne me souviens pas si vous m'avez répondu oui ou non.
> > - Oh, comme je suis contente que vous m'appeliez ! Je me souvenais d'avoir dit oui, mais je ne savais plus à qui !...

Dans un petit village d'Alsace, Jules vit seul avec son vieux chien.

Un jour le chien vient à décéder et Jules vas voir le curé et lui demande :

« Monsieur le curé, mon vieux chien est mort et je voudrais que vous disiez une messe pour lui. »

Le curé répond :

« On ne peut pas faire des funérailles pour un animal dans l’église, mais il y a les Baptistes à l’autre bout de la paroisse.

Peut-être qu’ils pourraient faire quelque chose pour cette créature. »

Jules lui dit :

« Je vais y aller tout de suite, et pensez-vous que si je leur donne 5000 €uros ce sera suffisant pour ce service ? »

Le curé s’exclame :

« Doux Jésus, pourquoi ne m’avez-vous pas dit que votre chien était catholique ? »


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Samedi 26 Janvier 2013

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poème de Marie laborde...La mer écrit son testament.
 




La mer écrit son testament.

Bonjour jolie mer aux vagues écumeuses,

Tu martèles les rochers de façon rageuse.

Raconte-moi tes peines, je suis ton amie

Ouvre ton cœur, parle-moi de tes soucis.

Et la mer s’est calmée, elle a trouvé une alliée.

Je ne suis plus respectée m’a-t-elle tristement confiée,

On me prend pour un dépotoir, je suis désespérée.

Mon équilibre est bafoué, mon écosystème perturbé

Parfois des êtres sans scrupule se débarrassent sur moi

Des déchets encombrants qui font une marée noire.

D’autres y déposent des déchets d’uranium poison

Et dans mes entrailles meurent des sujets de la faune.

e pleure, je pleure mais hélas, personne pour me consoler,

Je souffre, j’ai peur, je suis seule, abandonnée.

Avant qu’il soit trop tard, crie au monde entier

De prendre soin de moi car je meurs, il faut m’aimer.

Marie Laborde..

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Jeudi 24 Janvier 2013

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chateau de yeres var
 
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LE CHATEAU
Dominant la ville au nord-ouest, le chateau d'Hyéres couronne une colline escarpée présentant à l'ouest un grand à-pic rocheux. Le site se prétait à coup sûr à la défense d'une agglomération et à la maîtrise de l'espace environnant: on peut penser qu'il fut occasionnellement utilisé dans ce but bien avant l'édification du premier chateau médieval.
HISTORIQUE
Premiére moitié du 11em siécle: période qui voit l'éclosion des chateaux privés en Provence, probable construction du chateau. Ce sont les seigneurs de Fos, attributaire de vastes domaines à l'est de toulon aprés l'expulsion des "Sarrasins", qui édifièrent cette premiére forteresse.


Fin du 11em siécle: la maison de barcelone hérita par mariage du comté de Provence. Mais la succession fut contestée, notamment par le compte de Toulouse. De nombreux seigneurs provençaux, dont les Fos, se ralliérent à ce dernier et c'est lui qui conduisit la noblesse provençale à la première croisade. Pendant un siécle et demi, les seigneur de Fos et d'Hyéres continuérent à manifester envers la maison de Barcelone une opposition opiniâtre qui prit souvent la forme d'une lutte armée. Les fos y connurent quelques succés mais toujours suivis de revers les obligeant à soumission...
Ainsi s'usèrent peu à peu la fortune et le pouvoir de la famille de Fos. Le château d'Hyères souffrit de cette longue lutte et dut sans doute être réparé à plusieur reprises, voire partiellement reconstruit ou agrandi.


Début du 13em siècle: les Fos doivent céder à Marseille une partie de leurs droits sur Hyères. Et en 1257, aprés sêtre fait remettre ces droits, Charles d'Anjou, nouveau comte de Provence, exigea des Fos le retour au propre domaine comtale de l'ensemble de la tenure hyéroise. Désormais la ville et le château sont placés sous l'autorité directe du comte.
Celui-ci établit à Hyères le siège d'une viguerie (circonscription administrative et judiciaire) et fit procéder aux aménagements, répartitions et modernisations du chateau. Ces travaux durent être trés important car c'est de cette époque que datent, pour la plupart, les plus ancien vestiges de la forteresse.


En 1323: Charles II, successeur de Charles d'Anjou, fit contrôler les fortifications. Ala suite de ce contrôle, la population dut prendre en charge diverses réparations estimées à 70 livres. Elle fut en outre sommée de réparer et compléter l'enceinte de la ville basse sous peine d'abandonner le "bourg-neuf" et de remonter se loger en totalité dans la ville haute.


En 1348: L'entretien et la garde des fortifications étant plus que jamais d'actualité, la reine Jeanne accorda à Hyères le privilége d'une rue franche -probablement celle située au plus prés du chateau- dont les habitants, astreints à la garde des remparts "tant de jour que de nuit", se trouvaient ainsi exemptés de toutes autres charges.


En 1382: Succesion de la reine Jeanne. Cela va diviser la Provence entre les partisans de Louis d'Anjou et ceux de Charles de Duras. Ce dernier fut d'abord reconnu par Aix et la majorité des communautés: ce fut l'Union d'Aix dont Hyères fit partie. Le château fut alors sous le contrôle du commandant des forces de l'Union, Spinolla, jusqu'à ce que celui-ci, changeant de camp, donne en 1387 la victoire définitive à Marie de Blois, veuve de Louis d'Anjou.


De 1423 à 1431: La garde du château fut assurée par Arnaud de Villeneuve. Celui-ci appartenait à la famille à la famille des seigneurs de Trans qui eut en ces années une certaine influence sur le territoire hyérois.


En 1438: A la recherche de fonds pour poursuivre à son tour le rêve italien, le roi René engagea, en 1438, le chateau et la seigneurie d'Hyères à Louis de Beauveau pour 74 000 florins d'or.


En 1524 et en 1536: les armées impériales déferlèrent par deux fois sur la Provence. La première fois, Hyères et son château résistèrent quelque temps avant d'être occupés. La seconde fois, ils furent épargnés alors que les autres lieux voisins de la côte étaient pillés et saccagés. Ce sort étonnamment favorable fit naitre dans le reste de la Provence des doutes sur la fidélité hyéroise.


De 1579 à 1596: le chateau d'Hyères joua un rôle stratégique de premier plan dans les guerres de religion. Pendant cette période, la Provence fut le théatre de violences aux multiplesenjeux où se manifestèrent non seulement les oppositions des ligueurs (catholiques) aux "razzats" (protestants), et du parlement au pouvoir royal, mais aussi des rivalités personnelles, et des interventions intressées du duc de Savoie. La ville d'Hyères demeura fidéle au roi avec asez de constance. Mais le chateau changea souvent de main. D'abord pour le roi, sa garnison se rallia à la ligue en 1588. Mais, l'année suivante, épuisée à la suite d'un long siège, elle dut laisser la place aux troupes royales, sans que le château ait été pris. En 1593, le duc d'Epernom, gouverneur de Provence, jouant dans dans cette affaire un jeu personnel, donna le commandement du chateau d'Hyères à Sigmans, un ligueur convaincu, que les troupes royales, curieusement commandées par le propre père de Sigmans, ne parvinrent pas à déloger. Henri IV, excédé, nomma un nouveau gouverneur: Charles de Guise, fils du Balafré, et dans la nuit du 6 février 1596, l'armée royales prit position dans la ville d'Hyéres. Des officiers ligueurs qui s'y trouvaient de réfugièrent au couvent Saint-Bernard et y organisèrent une première défense, permettant ainsi au château de se préparer à repousser l'assault. Une nouvelle fois, le chateau tint bon et c'est en décembre 1596 seulement que la garnison, aprés un compromis négocié, consentit à quitter les lieux.


Ces dix longs moi de siège éprouvèrent si durement la ville que l'on envisagea de la reconstruire sur la presqu'île de Giens. Henri IV y était favorable mais le projet fut abandonné à la mort du roi. Celui-ci avait, aussitot aprés les évenements, donné l'ordre de raser partiellement la forteresse et Louis XIII fit procéder à son démantelement. ..


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Mercredi 23 Janvier 2013

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aiguino leil fus.
 


comment s'y rendre

Le village est sis sur les pentes des Petit et Grand Margès et domine le lac de retenue de Sainte Croix alimenté par le Verdon.
Description & histoire

L'origine du nom du village remonte à la nuit des temps. On retrouve la racine pré indo-européenne AK- qui désigne une montagne. Aiguines est effectivement surplombé par le Grand Margès et proche d'autres sommets dépassant les 1500 m d'altitude.


Jadis, on le surnommait "Aiguino lei fus" (les fuseaux) en raison d'une prolifique industrie de tourneurs de bois qui avait fait la réputation du village dès le XVIè s. Les "buissoniés" coupaient les racines de buis (très répandu dans la région) et les tourneurs les transformaient en ustensiles de cuisine, instruments de musiques et aussi en boules cloutées, ancêtres de nos intégrales. Ces boules étaient recouvertes de clous plats tels des écailles que d'habiles ferreuses plantaient avec une incroyable minutie. Au XIXè s., tous ces corps de métier se retrouvaient lors des foires annuelles pour y confronter leurs talents.


La région est habitée depuis la préhistoire. Plus tard, un oppidum fut érigé sur le flanc méridionnal du Margès. Il fallut attendre le XIè s. pour avoir plus d'informations concernant le castrum qui s'est développé au lieu-dit le Puits à l'initiative des seigneurs de Moustiers (on y voit encore les squelettes fort abîmés de petites constructions). Depuis ce lieu haut perché, on pouvait atteindre La Palud, sur l'autre rive du Verdon en empruntant un sentier très pentu, et surveillé par des postes militaires, qui traversait le torrent au gué de Meyreste. C'est vraisemblablement de cette même époque que date la chapelle Saint Pierre. Elle domine le village actuel et offre un panorama magnifique sur le lac. Vers le XIIIè s., on abandonna le Puits pour habiter près de la chapelle. Au cours du moyen-âge, et tout en passant entre les mains de plusieurs grandes maisons provençales (Blacas, Baux,...), le village se développa et se fortifia (restes de remparts). Il joua un rôle important dans le conflit qui opposa durant des siècles la famille des Castellane et leurs alliés aux autorités comtales. Finalement, ces dernières emportèrent quelques victoires et, dès qu'elles le purent, chassèrent l'occupant félon pour y installer un de leurs fidèles sujets.

C'est à la fin du XVIè s. que le château actuel fut érigé, sur les restes d'un édifice ayant appartenu aux Blacas. Il s'agit d'un grand cube blanc flanqué de 4 tours cylindriques, à chacun des angles, en forme de poivrières et dont les toits sont recouverts de céramiques polychromes. L'éclatante bâtisse se dresse à l'écart du village, sur une butte herbeuse, à côté du cimetière. Elle a conservé son architecture Renaissance ainsi qu'un riche mobilier provençal.

Alantours
Non loin au sud-ouest, se dresse le château de Chanteraine. Aujourd'hui transformé en hôtel, il s'agit d'une bâtisse datant du XVIIIè s. On y trouve aussi une vieille chapelle et une tour.

Le Col d'Iloire : en quittant le village par le nord, la D71 pénètre dans les gorges du Verdon par le Col d'Iloire qui nous offre une vue surplombant une partie des célèbres gorges (plaine et gué de Meyreste, Cime de Barbin). Pour une vue encore plus plongeante, on peut grimper au sommet de l'aire de départ de vol libre.

La ferme de la Médecine : interdite d'accès car située dans le camps de Canjuers. Jusqu'à la dernière guerre y vivait la mère Bousquet, connue comme étant la dernière "sorcière" de Provence. Elle avait l'habitude de cueillir ses herbes sur le plan de Canjuers pour faire ses potions curatives.

Le Lac de Sainte Croix : retenue créée sur le Verdon en 1974 par EDF. Pour cela, il fallut engloutir sous les eaux le vieux village des Salles, reconstruit ensuite plus haut sur les rives du lac.


Randos
Voici une idée de randonnée qui offrira un beau panorama sur la Provence, à condition cependant d'avoir une bonne santé (800m de dénivelé, pentes assez raides). On part du village en empruntant le GR99 qui grimpe jusqu'au sommet du Grand Margès (alt. 1577m). Entre le Grand et le Petit Margès, au niveau d'un col (alt. 1400m), se trouvent les restes d'une glacière. Au sommet, la vue porte sur les principaux massifs provençaux (Ste Victoire, les Alpes, Ventoux, Lure, haut et moyen Var,...). On revient par le même chemin.

Pour les plus entraînés, le GR99 continue dans le Canjuers, descend dans les gorges au niveau du Pas de Garimbau. Une fois sur la route, suivre le sentier à gauche (le GR99 continue à droite) qui revient sur Aiguines par le Cirque de Vaumale. Le sentier ne présente pas de passage réelement exposé, mais est très rocailleux par endroits et surplombe en permanence le Verdon qui coule quelques centaines de mètres plus bas. Très impressionnant, mais à réserver aux initiés.


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Lundi 21 Janvier 2013

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la vie au 15eme siecle..........
 



La Vie au 15ème Siécle. Choses Surprenantes!

LA VIE AU 15e SIÈCLE!

La prochaine fois que vous prendrez votre bain et que vous trouvez que l'eau n'est pas à la température souhaitée, pensez à vos ancêtres qui vivaient au15e siècle...

1. La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils avaient pris leur bain en mai et qu'ils sentaient encore bon. Cependant, la chaleur arrivant, ils commençaient à sentir, alors les mariées apportaient un bouquet de fleurs pour cacher l'odeur... d'où la coutume, pour la mariée, de porter un bouquet....

2. Les bains se prenaient dans un grand tonneau rempli d'eau chaude. L'homme de la maison avait le privilège de passer le premier, puis tous les autres fils et hommes; alors seulement après tous les mâles venaient les femmes et finalement les enfants, et le dernier de tous, le bébé. Mais comme l'eau était devenue très sale et qu'on pouvait perdre quelqu'un au fond, on lançait la phrase, avant de vider le tonneau : «Attention de ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain...» .

3. Les maisons avaient alors un toit de chaume; de la fine paille pilée l'une sur l'autre, sans bois souvent. Cela devenait la place favorite des petits animaux pour se tenir au chaud : chats, chiens, rats, souris et autres bestioles. Quand il pleuvait, l'endroit devenait glissant et certains animaux tombaient; alors d'où vient l'expression anglaise : «It rains cats and dogs» (Expression employée lorsqu'il pleut à verse). Comme on ne pouvait les empêcher de tomber dans les beaux draps, cela devenait un vrai problème. Alors on inventa le lit à baldaquin...

4. Le plancher se salissait facilement. Seuls les riches pouvaient se payer des produits pour enlever cette saleté; les pauvres furent donc vite traités de «sales pauvres».

5. Parfois ils réussissait à se procurer du porc; c'était un signe de richesse quand un homme pouvait apporter du bacon à la maison et l 'expression est restée : «Bring home the bacon» (Rapporter le bacon (la paye) à la maison)

6. Les riches possédaient des plats en étain; mais les produits avec un grand taux d'acidité provoquaient l'empoisonnement; c'est pourquoi, pendant plus de 400 ans, les tomates ont été considérées comme poison...

7. Le pain était divisé selon le statut de chacun; les travailleurs avaient droit à la croûte souvent brûlée du dessous, la famille, la mie du milieu et les invités la croûte du dessus...

8. Les coupes pour la bière et le wiskhy étaient, souvent en étain aussi. Ils provoquaient des malaises et les gens se traînaient sur les routes et on les pensait souvent morts. Mais avant de les enterrer, on les amenait sur la table de la cuisine, et pendant ce temps, les autres buvaient et mangeaient jusqu'à ce que le malade se lève enfin ou décède, pour de vrai... d'où vient la coutume de «la veillée au corps»...

9. Souvent, comme les cimetières étaient vite remplis, on enterrait, plus tard, dans le même terrain. Mais plus d'une fois sur 25, on constatait que le «mort» précédent avait gratté et laissé des traces sur la pierre tombale. Ils réalisèrent donc que certains avaient donc été enterrés encore vivants... Alors, pour éviter pareille torture, ils décidèrent d'accrocher une corde au poignet du mort qu'ils laissaient ressortir en dehors et ils y accrochaient une cloche. Et quelqu'un devait veiller chaque nuit pour voir si la cloche ne sonnerait pas. Si oui, on disait qu'il avait été «sauvé par la cloche» .

Et tout ceci est la vérité... Maintenant, qui osera affirmer que l'histoire est ennuyeuse?

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Dimanche 20 Janvier 2013

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nuit de neige poème de Guy de Maupassant,
 




Nuit de neige
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.

Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l’horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.

Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ;
Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.

Guy de Maupassant,

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Samedi 19 Janvier 2013

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Une photo sans trucage et qui vaut son pesant d'or!!!!!!
 



Peut être la nouvelle orthographe Française ?

Une photo sans trucage et qui vaut son pesant d'or !!! - Avec le langage SMS, ça ne va pas s'arranger !!!

La SNCF nous étonnera chaque jour un peu plus ! Un bon point pour les responsables RH, le niveau de recrutement s'élève !...

La personne qui a programmé le tableau d'affichage ... devait penser à ses problèmes de string !
> > Les clients, eux, espèrent qu'il n'y aura qu'un poil de retard, car ils pourraient commencer à en avoir plein le c... !!! -

Et bien entendu, cela restera dans les annales.

Et n'oubliez pas d'emprunter le passage sous tes reins !!!!!!!!!!

Dvinette
--Pour le maintenir droit, il faut le mouiller.
> Pour le mouiller, il faut le mettre dans la bouche, le sucer et le lécher.
> Pour le mettre dans le trou, il faut bien viser et pousser.
> Pfff dur dur de mettre un fil dans une aiguille !!!!!

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