Descriptif
Le parc doit son nom aux nombreux oiseaux qui y séjournent : pigeons, tourterelles, merles, grives, étourneaux, passereaux divers. L'ancienne serre du 19e siècle a été transformée en volière et abrite des pigeons, perruches et paons (selon la saison). Un plan d'eau fait le tour du parc sur lequel évoluent des canards, des oies et des cygnes profitant du parc en semi-liberté.
Le parc est très boisé avec de nombreux grands pins d'Alep (Pinus halepensis) et quelques cèdres. On y trouve des conifères plus rares : Tetraclinis articulata, coté boulevard Paban, avec un feuillage clair et plumeux, et des fruits réticulés. Le sous-bois dense est constitué de nombreux arbustes indigènes :lauriers-tins (Viburnum tinus), lilas sauvages (Syringa vulgare), filarias (Phyllirea latifolia).
Arbres remarquables: tetraclinis articulata, pinus halepensis
Arbustes: viburnum tinus, syringa vulgare, phyllirea latifolia
Historique
Le jardin public faisait partie d'une grande propriété qui partait de la voie ferrée jusqu'à la grande maison de maître visible au nord-ouest. Le terrain fut acheté par la ville à la famille Malartic en 1970. Au centre, le parc public a été aménagé en 1972, reprenant le tracé des allées d'origine, en restaurant les deux petits bâtiments de l'entrée, ainsi que les plans d'eaux existants. Sur la partie sud, furent édifiées une crèche et une garderie, en 1975.
En 1989, un réaménagement amena de nouvelles volières et enclos, et confirma sa vocation de "Parc des Oiseaux".
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André Paulin Bertrand est né le 4 février 1852 à Toulon dans le Var. Son père : « Augustin Bertrand » d'origine également Toulonnaise effectuait des travaux de tôlerie dans les bâtiments. Dès l'enfance il trouvera sa vocation dans le domaine artistique.
Il commença par étudier au lycée de Toulon pour continuer dans les beaux-arts à Toulouse puis à Paris. Il travailla d'abord pour la mise en oeuvre sur pierre de lithographies qui consistent à effectuer des dessins sur une pierre calcaire. Puis il continua l'enseignement du dessin.
Il resta ainsi à Paris pendant une cinquantaine d'années, n'hésitant pas à descendre trois mois par an sur Carqueiranne dans le département du Var près de sa ville natale où ces paysages de Provence influencerent certains de ses tableaux.
Dans toutes ses compositions il se consacre à la recherche de la lumière avec minutie. Son talent de peintre néo-impressionniste lui permit de participer au Salon des artistes français de 1880 à 1932. Ces manifestations lui ont valu d'obtenir de nombreuses récompenses comme une médaille d'or de troisième classe en 1889 ou encore le prix Marie Bashkirtseff hors concours en 1890. Avec en plus de nombreux encouragements de personnalités et d'amis célèbres comme : « Roger Milès », « Arsène Alexandre », « Armand Dayot », « Bourdelle », « Harpignies »... Il participa également aux expositions de Londres, Bruxelles, Saint-Louis, Sâo-Paulo.
Il épousa une critique d'art nommée : « Julia Pillore » à Levallois-Perret au mois de juillet 1900.
Lié d'amitié avec l'académicien Jean Aicard, il finira sa vie à la demeure de celui-ci nommée : « La Villa des Lauriers Roses » à La Garde avec son épouse qui le soignera. Cette bâtisse lui sera léguée lors du décès de son ami.
Il s'éteindra en 1940. Les collections et la villa de notre artiste seront léguées à la ville de Toulon par son épouse qui décèdera plus tard. C'est ainsi que notre musée « La Villa des Lauriers Roses » vit le jour le 10 mai 1980.
Extrait de son Journal
L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.
Francis Bacon]
Ne dites jamais du mal de vous ; vos amis en diront toujours assez.
[Talleyrand]
Heureux deux amis qui s'aiment assez pour (savoir) se taire ensemble.
[Charles Péguy]
Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes.
[Jacques Chardonne]
Dans le monde, vous avez trois sortes d'amis : vos amis qui vous aiment, vos amis qui ne se soucient pas de vous, et vos amis qui vous haïssent.
[Chamfort]
Amaury Vassili, de son vrai nom Amaury Chautard, est un chanteur de variétés français, né le 8 juin 1989 à Rouen. Présenté dans les médias comme étant le plus jeune ténor professionnel au monde, il a suivi une formation musicale en dehors du circuit classique emprunté par les chanteurs d'art lyrique [1]. Avec son premier album Vincero en 2009 qui s'est vendu à plus de 200 000 exemplaires (double platine) en France, Amaury Vassili a connu un succès à l'international, avec des sorties en Europe, mais aussi au Canada, en Afrique du Sud et en Corée du Sud[2].
Biographie .Il commence le chant aux alentours de l'âge de 9 ans, inscrit par sa mère dans l'école de comédie musicale de Rouen, créée par Albert et Elisabeth Amsallem, qui le feront monter sur scène. À 14 ans, il fait un premier concours de chant qu'il gagne en interprétant Amsterdam de Jacques Brel.
Pour son second concours, devant une salle pleine, il interprète Les Lacs du Connemara ; il n'est pas qualifié pour la finale, mais la salle est debout pour l'applaudir et chanter avec lui. C'est ce jour-là que sa mère prend conscience de son plaisir à être sur scène et surtout de l'impact qu'il a sur le public ; elle sait alors que « c'est son truc ! »
Puis, à 15 ans, il participe à la « Coupe de France de la chanson française » où il interprète Savoir aimer de Florent Pagny. Son challenge est de reproduire en direct, tout en chantant, les paroles en langage des signes (comme Pagny l'avait fait, mais en play back, dans le clip de sa chanson). C'est un succès ! À partir de ce jour, il va s'essayer à tout le répertoire de Florent Pagny. Quand ce dernier sort l'album Baryton, c'est la révélation pour Amaury qui n'a alors que 16 ans. Il travaille, seul, toutes les chansons de cet album inspirées du répertoire lyrique dont il voudrait faire son répertoire favori.
Concours Eurovision de la chanson 2011 Le 14 mai 2011, il représentera la France lors du 56e Concours de l'Eurovision à Düsseldorf en Allemagne, avec une chanson inédite, dont le titre est Sognu (Le Songe), chantée en langue corse------------------------------------------------------------
Aimer la vie...
C'est d'abord apprendre
A s'aimer soi-même
A accepter ses limites, s'y adapter
A reconnaître ses forces, les utiliser au service des autres
Oser la vie...
C'est avoir un rêve
Assez puissant pour croire passionnément
Assez grand pour qu'il soit envahissant
Assez beau pour qu'il égaye chaque jour
C'est croire...
Croire que nous sommes une étincelle divine
Une étincelle venue rayonner, le temps d'un passage
Croire que nous avons une mission
Croire que nous pouvons l'accomplir, malgré les obstacles
Croire en soi, en l'autrui, en la vie
C'est voir...
Voir toutes les beautés du monde
Au-delà des nuages
Voir tous les élans du coeur
Avec les yeux de l'âme
C'est créer...
A travers le geste, la parole, le regard
Créer et recréer son existence
Et tendre vers l'espoir
Créer la plénitude du moment
C'est communiquer...
Abandonner sa solitude première
S'ouvrir au regard et aux paroles des autres
Reconnaître la puissance d'un groupe
Et s'y joindre en toute confiance
C'est se libérer...
Car la vraie liberté est intérieure
Elle brise les chaînes
Elle nous donne la clé qui mène vers la lumière
Cette Lumière qui nous fait...
Aimer la vie
Lise Thibault----------------------------------------------- ------------------------------------------------
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit
La campagne, je partirai.
Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Victor Hugo
Paru en 1847 dans "Les contemplations"
pour sa fille aînée, Léopoldine, qui s'est noyée avec son mari lors d'une promenade en barque sur la Seine, le 4 Septembre 1843 à l'âge de 19 ans.
Samuel rencontre Raphaël qui a l'air bouleversé :
- Mais qu'est-ce qui t'arrive ?
- Si tu savais ce que je viens de voir chez moi !
- Calme-toi, Raphaël. Qu'as-tu vu ?
- J'ai vu, j'ai du mal à le dire, j'ai vu Claire qui embrassait Michel sur le divan du salon !
- Calme-toi, calme-toi...
- Que vais-je faire ?
- Alors là, réfléchis bien et prend (sic) la bonne décision, Rapahël.
Le lendemain :
- Raphaël, alors qu'as-tu décidé ?
- J'ai vendu le divan.
Chez la voyante, Mme Irma, un client vint se plaindre :
- Vous m'aviez prédit que je toucherais un gros chèque. Hélas ! il était sans provision !
- C'est probablement, déclare Mme Irma calmement, parce que je vous ai lu l'avenir dans du marc de café décaféiné.
Une maman donne un bain à son petit garçon et à sa soeur.
- Pourquoi te tiens-tu tourné vers le mur ?
- Je ne suis pas tranquille. Les filles, ça casse tout !
A la tombée de la nuit, dans un bistrot, un homme s'écrie :
- Allez, tournée générale. Et pour vous aussi, patron.
Les verres vides, l'homme renouvelle son invitation. A minuit, le patron dit :
- Bon, il faut payer.
- Pas d'argent.
- Pas d'argent ? Vous avez bien une carte bleue !
- Pas d'argent, pas de crte bleue, pas de chéquier, rien.
Furieux, le patron jette l'homme dehors et ferme le café. Le lendemain, à la même heure, l'homme entre dans le café.
- Allez, tournée générale.
Puis, s'adressant au patron :
- Et pas pour vous, quand vous buvez, vous devenez méchant !
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