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Vendredi 30 Août 2013



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quelques belles citati..............
 



Quelques belles citations d’amour

Aimer, c’est préférer un autre à soi- même. Citation de Paul Léautaud


J'entends ta voix dans tous les bruits du monde. Citation de Paul Eluard



Les sentiments et la tendresse sont les deux organes principaux de l'amour. Citation Anonyme


L’harmonie la plus douce est le son de la voix de celle que l’on aime. Citation de Jean de la Bruyère


Aimer, ce n'est pas regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction. Citation de Antoine de Saint-Exupery

L'amour n'est significatif que parce que fragile. Le langage du coeur amoureux est délicieusement irréel, et c'est peut-être cela qui en fait la force. Citation de Vasco Varoujean


On ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. Proverbe québécois



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Jeudi 29 Août 2013

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var grottes et sanct.........sainte Anastasie..........
 
SAINTE-ANASTASIE


Barres de Saint QuinisUne grotte fortifiée dans les barres de Saint Quinis, passe pour avoir abrité Gaspard de Besse. Mais Gaspard est présent partout dans le Var !
Au-dessus des barres se trouve une chapelle dédiée à Saint Quinis . Y a-t-il un lien quelconque entre ce lieu de culte et la grotte fortifiée ? Qui était Quinis ? Né à Vaison en 500 , il se rend à Lérins, traversant Avignon, Besse, Gonfaron, Le Luc, Le Cannet, Fréjus, prêchant sns cesse de parole et d'exemple. Sa douceur, sa bonté, sa charité furent sans pareilles. Gaspard Bouis, dit Gaspard de Besse, douze siècles plus tard, connaît une popularité sans égard car ce qu'il dérobe par ruse, par malice aux riches – étrangers de préférence – il le distribue sans compter aux pauvres. Il en conserve cependant pour lui et ses compagnons et cache son butin dans diverses grottes. On lui attribue des cachettes dans l'Estérel et celle fortifiée à Sainte-Anastasie. Quoi d'étonnant ? Sainte-Anastasie n'est qu'à 4 km de Besse où il est né. Ces grottes fortifiées rarissimes dans le Var (aucune autre n'y est signalée exception faite peut-être de la glacière de Varages) sont répandues dans les Pyrénées, en particulier dans la vallée de l'Ussat ; elles sont appelées spoulgas ou spulgas, ce qui rappelle le vocable spéluque et ont servi de refuge aux Cathares.
Pour en revenir à Gaspard de Besse, la tradition orale l'a souvent assimilé à Mandrin. Il est vrai que l'un et l'autre vécurent sensiblement à la même époque, qu'ils étaient tous deux beaux et ardents et généreux mais l'un d'eux s'attaquait aux riches voyageurs, l'autre à la ferme, c'est à dire à l'impôt. L'un et l'autre furent trahis par leurs proches. L'un et l'autre connurent le supplice de la roue, le premier à Valence en 1755, le second à Aix en 1781.

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Mercredi 28 Août 2013

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Cassis.......(...BduR)
 




La devise provençale de la commune attribuée à Frédéric Mistral est :

« Qu'a vist Paris, se noun a vist Cassis, n'ai rèn vist »,

ce qui signifie « Qui a vu Paris et pas Cassis, n'a rien vu »



Les habitants sont les "Cassidain ", du provençal cassiden...

Le Cap Canaille , situé entre Cassis et La Ciotat est l'une des plus hautes falaises maritimes d'Europe dont le point culminant, 399 mètres, se situe à la Ciotat au-dessus du sémaphore. Ces 11 km de côtes ont 2 sites classés : le massif des calanques depuis 1975 et le Cap Canaille depuis 1989. Ces deux sites et la ville sont visibles du haut de la route des Crêtes reliant Cassis à La Ciotat.
Le Parc national des Calanques, créé le 18 avril 2012 , est le 10e parc national de france . Terrestre et marin, il s'étend sur trois communes : Marseille, Cassis , La Ciotat .
Le parc national a la responsabilité de mettre en place un programme d'aménagement reposant sur des mesures juridiques, techniques et pédagogiques permettant d'assurer la préservation de l'habitat et de la biodiversité.

La richesse des Calanques réside dans son extraordinaire héritage environnemental et culturel. Ce patrimoine est d’abord visible dans les paysages spectaculaires sculptés dans les falaises calcaires, les criques et les îlots. Le site jouit d’un grand succès auprès des randonneurs et des grimpeurs, et ne compte pas moins de 2500 voies d’escalade. Celles-ci ont notamment servi de terrain d’entraînement au célèbre alpiniste Gaston Rébuffat.

Le Parc National des Calanques constitue également un lieu remarquable de protection de la faune et de la flore endémique du littoral provençal ou en voie de disparition.


L’on peut citer entre autres, le corb, le mérou, la posidonie, l’aigle Bonelli, Le statut des Calanques permet également une protection plus efficace du corail rouge contre le pillage en fond marin. En interdisant l’accès à certains endroits, une grande diversité de faune et de flore peut être maintenue.

À travers son patrimoine historique, on sait que les Calanques ont été habitées depuis la Préhistoire. En témoigne la célèbre "grotte de Cosquer" à l'accès immergé, où ont été retrouvées de nombreuses et exceptionnelles peintures rupestres de -37000 à -19000 ans. Toutefois, le patrimoine culturel laissé par les habitants des Calanques prend surtout la forme des cabanons qui bordent le rivage. Ces maisonnettes typiques servent de lieux de villégiature à de nombreux habitants de la région et venir s’y reposer constitue une véritable tradition.

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Mardi 27 Août 2013

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legende de montpelier le vieux..........
 



LEGENDE VIVANTE
as Fadarellas son passadas per aqui...
Oui les fées sont passées par là !... Elles sont venues des garrigues du sud les trois
petites fées, poursuivies par Mourghi, un mauvais génie qui leur voulait du mal :
Amy, la sérieuse
Amyne, la rêveuse
Benjamine, la rieuse,
Elles arrivèrent un soir de mai, sur ce plateau désert. De leurs mains, à la hâte, elles construisirent
une citadelle fantastique avec ses remparts, ses rues, ses palais, ses ponts, ses places et ses
monuments. Elles plantèrent des pins, des chênes, des herbes folles et des fleurs sauvages. Et tout
cela faisait un : tel univers d'enchevêtrement mystérieux que même Mourghi, pourtant si malin, s'y
perdit et renonça.
Alors commença pour elles une longue période de paix, de bonheur et de joies tranquilles.
Las, même les fées se lassent du bonheur...
La nostalgie des garrigues s'empara un jour de la sérieuse Amy, le rêve s'évanouit dans les yeux
d'Amyne et le rire peu à peu disparut du quotidien de Benjamine.
Un jour n'y tenant plus, elles s'en retournèrent près de la mer et du soleil.
La ville s'endormit alors dans son silence. Puis, sans doute! amenés là par quelque diable, le Vent, la
Pluie, la Neige sont revenus et se sont acharnés sur la cité désormais ville morte.
Las Fadarellas s'en son tornadas !
Les fées sont reparties... mais leur souvenir habite toujours la cité.
Dans la rigueur des ordonnances, la sérieuse Amy reste présente. Le chant des oiseaux, le
bruissement du vent, le grelot des troupeaux ne sont-ils pas les échos du rire de Benjamine.
Cet arbre au tronc torturé et dénudé au bord du précipice n'est-ce pas l'image du méchant gnome
Mourghi ?
Et cette atmosphère étrange, n'est-elle pas l'image même du rêve d'Amyne.
Oui ! Les fées sont toujours là, maîtresses du rêve.
Las Fadarellas son aqui,
Las Fadarellas mestrejas la somi.

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Lundi 26 Août 2013

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Corsica mia.poesies d'alain meyer abbatucci
 




Corsica mia

Ô, mon île de beauté, violence de ta fierté sanguinaire,
Saisissant l'éternité aux contours d'une tour génoise,
Sublime plainte sauvage à la pourpre de tes rochers.


Ton maquis est une nature obstinée, sournoise,
Une bergerie écorchée de vendettas incendiaires
Séchant sous le soleil, ton sang de révolté.

Les bancs de pierre confessent toutes les rumeurs,
Voilant les femmes noires en deuil de confidences.
Ô mon île, où ta terre d'asile est déjà un exil.

Nombre de tes enfants sont partis sur le continent,
Sans jamais avoir oublié l'origine de leur sang,
Parfums de myrte mêlés à la liberté de ton chant.

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Vendredi 23 Août 2013

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poeme ..Les romantiques ont disparu...marie rose........
 
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Les romantiques ont disparu...

A l'ombre de la terre, tout au bout du chemin,
Aux fins fonds du silence, je les cherche en vain.
Ils étaient doux et tendres, d'une autre génération,
Ces hommes *romantiques* qui savaient être galants.

Ils vénéraient la femme, avec une telle tendresse,
Ils savaient de leur regard, leur faire mille caresses.
Et si leur coeur battait au rythme de l'amour,
Ils n'en pensaient pas moins et leur faisaient la cour.

Bien sûr ils voulaient tant, mais n'osaient pas vraiment,
Déclarer au grand jour, leur nobles sentiments.
Ils craignaient c'est sûr que leurs belles demoiselles,
Outrées de leurs aveux, s'enfuient à tire-d'aile.

Reviendront-ils un jour, revivre leurs amours,
Sous des cieux plus cléments, que ceux de leurs séjours.
Ainsi nous connaîtrons tout comme nos parents,
Les joies du *romantisme* et du bonheur d'antan.
marie-rose

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Jeudi 22 Août 2013

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contes et legendes corse........
 



CONTES ET LEGENDES DE CORSE

A VEGHJA

En hiver, les paysans rentrent tôt au village car les jours sont courts et la nuit tombe vite. Les outils sont remisés, dans le champ la charrue est abandonnée et les bêtes sont mises à l'abri. Il ne faut pas s'attarder en chemin car on a peur de ces ténèbres qui sont l'univers des mazzeri (sorciers), des steghe (sorcières), des murtulaghji (revenants), des diavuli (diables) et autres démons.

On se hâte de rentrer au logis pour préparer la veillée qui rassemblera tout le monde autour de l'immense fucone.

Chaque soir, après avoir soupé, on se rend dans la maison d'un voisin, d'un parent ou d'un ami pour se joindre à la veillée (veghja) que chacun organise à son tour. L'atmosphère y est chaque fois différente car il y a toujours un conteur inspiré, un témoin auquel est survenu une aventure, un évènement à raconter... qui font vibrer ces heures dans la nuit noire.

Dans la grande salle faiblement éclairée, assis autour de l'âtre où brûle une grosse bûche, on se serre pour faire place au nouvel arrivant qui vient de frapper à la porte d'entrée. Mamone (grand-mère) a mis à rôtir dans le testu (poêle) une grosse poignée de châtaignes cueillies aujourd'hui et Babone (grand-père) a posé sur la table une bouteille de vin de sa vigne.

Malgré l'épaisse fumée qui nous pique les yeux, nous les enfants, silencieux, immobiles et sur nos gardes, évitant d'attirer l'attention des adultes de peur qu'ils ne nous envoient nous coucher, nous écoutons suspendus aux lèvres du conteur ces fole (histoires) qui pouvaient nous faire rire, pleurer, trembler ou rêver à volonté et que la nostalgie nous rappelle aujourd'hui...

Babone (grand-père) découpe avec patience l'erba a tabaccu (herbe à tabac) qu'il tient dans sa main, bourre lentement sa pipe, l'allume avec un tison, tire sa première bouffée et prononce les mots magiques: "C'era una volta..." (Il était une fois...)
Légendes LEGENDE DES CALANCHE DE PIANA

« Satan, l’ange déchu, tomba follement amoureux d’une bergère. Il l’observa des semaines du fond de l’enfer, s’en éprenant chaque jour davantage.


Un beau matin, il se présenta sur terre et entreprit la conquête de la belle. Et voilà qu’au lieu de céder au Prince de Ténèbre, la jeune femme l’insulta, le frappa et appela son mari. Ce dernier vint et se trouva saisi de rage. Il s’arma d’un bâton de chêne et administra une raclée au pauvre diable qui dut s’enfuir la queue entre les jambes.


Le Diable ne chercha même pas à tuer le mari et la femme. Pensez donc ! c’eût été trop facile.


Il décida alors de rendre l’endroit invivable. Ainsi, il tapa, fendit, brisa et renversa, bref, mis la roche sens dessus-dessous avec, cependant, une nette préoccupation artistique puisque les vieux Corses affirment qu’avec un rien d’imagination, on aperçoit, sculptés dans les falaises, le berger, la bergère et son chien.


Saint-Martin passa par là et décida de bénir les falaises. En constatant qu’il n’arrivait pas à en chausser la fureur, il appela une vague qui caressa le rocher. Ainsi naquit le Golfe de Porto… »
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Mercredi 21 Août 2013

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legende et histoire du figuier.............
 



le figier.

Le figuier a de tout temps accompagnait les peuples de la méditerranée. Il était vénéré comme un arbre sacré chez les peuples anciens et en Provence. Il a toujours eu une place privilégiée dans les jardins près des maisons où l'on pouvait dans la fraîcheur du matin cueillir les fruits prêts à éclater dans leur peau grise. La figue était un aliment pour les paysans qui la mangeaient à maturité ou bien séchée. Les meilleures figues, on les appelle les " figues fleurs", les premières celles qui dès le mois de juillet s'arrondissent pleines à craquer et qui donnent dans la bouche un mélange de douceur de miel et de crissement des graines sous les dents.

figier histoire.

Le figuier apparaît dans la littérature, mais aussi dans la bible ou sa place est aussi honorifique que celle de l'olivier. L'histoire raconte que l'olivier refusant la proposition de ses semblables d'être leur roi, l'honneur de ce privilège fut proposé au figuier, qui à son tour refusa.
Adulé, vénéré, par plusieurs peuples, le figuier serait un des seuls arbres prénommés dans le Jardin d'Eden. Adam et Eve auraient utilisé ses feuilles pour masquer leur nudité.
Arbre sacré pour le peuple Grec, dont le fruit apportait prospérité et vie meilleure, la figue était un don de Zeus, Cérès et Démeter.
Cultivé en Asie Mineure, au troisième millénaire avant notre ère, il apparaît sur une peinture égyptienne qui représente la cueillette des figues.La culture des figuiers remonte à une époque immémoriale dans le bassin méditerranéen.

Le figuier,a été importé en Provence par les Phocéens. Plus tard les Romains, comme pour la vigne en ont développé la culture jusque dans le Nord de la France.

Du Grec syké et du latin ficus, il fait partie de la famille des Moracées. La figue est composée d'un réceptacle charnu, c'est une infrutescence, contenant de nombreux petits fruits drupacés, on dit que c'est un sycone.

figuier conte

Le figuier très lié à la Provence est un arbre singulier qui ne porte jamais de fleurs. La légende dit que Judas pris de remords après avoir trahi son maître se serait pendu à la branche d'un figuier. Depuis cela le figuier serait devenu maudit et en punition ne porterait pas de fleurs comme les autres arbres fruitiers.

En réalité, la figue est un réceptacle de centaines de fleurs intérieures qui se transforment en graines selon un processus très singulier de fécondation.

Il existe les arbres mâles et les arbres femelles. Dans les jardins, en général, il s'agit de figuiers femelles qui donnent des fruits sans fécondation par Parthénocarpie. Les fruits sont charnus et bons, mais si l'on veut avoir des fruits très succulents il faut avoir un figuier mâle à proximité pour féconder le figuier femelle.

Le figuier femelle est le seul qui produit des fruits, le figuier mâle a lui des réceptacles( figues impropres à la consommation) mais dans lesquels se trouve un petit insecte le blastophage. C'est ce minuscule insecte qui va ensuite percer le réceptable des figues femelles et les féconder.

Cela donnera des fruits délicats et savoureux à déguster.

Ces figuiers mâles qui poussent spontanément un peu partout doivent être protegés

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Dimanche 18 Août 2013

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legende de provence...naissance en provence..............
 


NAISSANCE EN PROVENCE

Autrefois, en Provence, comme dans bien des régions, les sages-femmes s'occupaient des naissances, ne faisant appel aux médecins que lors des incidents.


Après la naissance du nouveau-né, la tradition voulait que les premières personnes venant voir le bébé lui présentent des présents symbolisant des vœux :
ces offrandes présentées étaient en fait les suivants :

du pain, du sel, une allumette, un œuf ainsi que du miel.

Ces présents se rattachaient aux vœux suivants :

Que siègue bon coume dou pan : (qu'il soit bon comme du pain)
Que siègue san coume la sau : (qu'il soit sain comme le sel (symbole de santé)
Que siègue dre coume uno brouqueto : (qu'il soit droit comme une allumette)
Que siègue plèn coume un ioù : (qu'il soit plein comme un œuf (comblé de biens matériels et spirituels)
Que siègue dous coume lou mèu : (qu'il soit doux comme le miel)

Cette tradition se perd aujourd'hui dans nos familles, à l'heure ou les présents ressemblent plus à des jouets, habits ou tout autre objet beaucoup plus terre à terre...

Satisfaire les «envies»

Pendant la grossesse il était recommandé de satisfaire les envies de la femme enceinte afin de ne pas attenter à l'aspect physique du futur enfant, croyance tellement forte que, dans certaines régions, la coutume préconisait que

"Toute femme enceinte pourra, à cause de son état, cueillir des fruits plein ses mains, dans la propriété d'autrui, ou les mangera là même sans pouvoir en emporter de plus."

A l'approche de l'accouchement, l'usage voulait que la future maman mette elle-même, dans de l'eau, des roses de Jéricho ( Anastatica hierochuntica ) qui devaient s'ouvrir, signe d'une heureuse délivrance, rassurante dans un contexte dominé par la peur pour elle-même et pour l'enfant.

Bèu nas, bèu cas

Lorsque l'événement attendu s'était déroulé dans les meilleures conditions possibles en présence souvent d'une ou deux voisines apportant leur aide à la sage-femme, on demandait à celle-çi, si c'était un garçon, de faire bonne mesure en coupant le cordon ombilical ; pendant que la sage-femme soignait la mère, nos voisines s'emparaient de l'enfant, petit corps tout mou considéré souvent comme inachevé, pour l'examiner et, dans certain cas, lui façonner un peu, qui le front, qui le menton, qui le nez, faisant pour cet appendice, si c'était un garçon, des pronostics pour le futur :

bèu nas, bèu cas ( beau nez, beau... zizi ).

Si, au moment de l'accouchement, l'enfant conservait, collé sur le crâne, un morceau de placenta, on disait qu'il était né coiffé, signe de chance dans sa vie.

Les voisines s'occupaient toujours du bébé, le lavant, l'habillant, le saucissonnant bien droit dans plusieurs langes et molletons serrés par des bandelettes qui le transformaient pour plusieurs mois en petite momie.

Quant à la maman, pour la réconforter, on lui faisait boire un bol de
« lait de poule »
( jaunes d'œuf délayés dans du sucre ou du miel et du lait ) aromatisé, si la délivrance avait été longue et difficile, le plus souvent avec une goutte de gnole ou, de rhum dans les familles plus aisées.

En Arles on aromatisait à l'anis pour un garçon et à l'essence de lavande pour une fille.

Pour consoler la mère qui venait d'accoucher d'une fille au lieu du garçon espéré, on lui disait :

Vau mies la chato facho que lou drole à far
( Vaut mieux la fille non souhaitée et faite que le garçon à faire ).

«A fa uno pichouno»

Leurs tâches achevées, les commères, nos voisines, se livraient aux «assabé» ( annonces ) informant de la naissance les proches, famille et voisins, selon un rituel immuable, criant simplement

«A fa uno pichouno» ( A fait une fille ), si c'était une fille

ou, pour un garçon, ce qui comptait beaucoup plus,

«A fa n' bèu pichoun» ( A fait un beau garçon )


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poème 1 opus l'ile de liberté
 





L'Île de Liberté



Sur tes cimes maquillées de neige et d’espoir,
Un mystère entouré de froid et de soleil,
M’attire en m’invitant sur ce promontoire :
Un monde de cristal, et qui sur l’île veille.

Fraîcheurs de tes ondées ravivent ma vigueur,
Rivières et ruisseaux m’inspirent l’harmonie ;
Mon esprit, serein, en leur surface vogueur,
S’en va en dévalant tes montagnes brunies.

Tel un ambassadeur tu règnes sur les mers ;
Neptune t’a choisi. Les déesses se meurent
Au pied de tes hauteurs ; satires et chimères
Quémandent un petit coin, un havre de bonheur.

Si les hommes savaient, ta générosité,
Seraient encore plus fiers, de prononcer ton nom :
« Corsica ma belle, absous l’avidité,
Au lieu de recevoir, volons ce qui est don ».

Grâce soit rendue, à tes bergers fidèles,
Qui ont su retransmettre aux enfants de l’amour,
Valeurs ancestrales, vestiges et citadelles,
Témoins d’un passé, et de milliers de jours.

L’écart et les distances, ne sauraient recouvrir,
Le parfum de tes fleurs, de ton profond maquis,
Qui, dans ma solitude, viennent à secourir
Mon âme ensorcelée, par tes nombreux acquis.

Tes lignes naturelles ont dressé ton esquisse.
Ni Français ni Génois ne peuvent te mater,
Prétendre à une suite. Quoiqu’ils fassent, qu’ils ratissent,
Tu es une île en soi, tu es la Liberté.

Aldebran

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