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Les forêts magiques |
Leurs histoires |
Saviez-vous qu'au temps des gaulois les forêts étaient des endroits qu'ils redoutaient, ils voyaient des ombres géantes, les bruissements de feuilles étaient perçus comme des chuchotements.
Mais dans ces forêts se déroulaient aussi des aventures merveilleuses.
La forêt de Brocéliande avec ses récits fantastiques , les romans de la table ronde, Arthur et les celtes, Merlin et Viviane la fée.
La forêt de Fontainebleau avec son grand Veneur, un chasseur mystérieux vêtu de noir.
Ce chasseur avait une grande puissance et des dons extraordinaires !
En Corse ce sont des roches pétrifiées qui semblent êtres des personnages ou des animaux vivant et fixés dans la pierre.
La "sposata" qui fut pétrifiée car avait dépouillé sa mère...le dauphin qui indique le chemin...du côté de Calvi.
Entre Sisteron et Manosque il y a les "pénitents des Mées", moines punis pour leur coupable désir pour de belles mauresques.
les hommes se sont toujours nourris de belles légendes, douces ou dures, mais maintenant, malgré les progrès de la science, nous avons toujours ce besoin de croire le magique, notre enfance ayant souvent été bercée par tous ces récits.
je vous souhaite une très douce nuit, peuplée de fées et d'enchanteurs qui exauceront vos plus secrets désirs.
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Le monde de la mer |
Le silence |
Le silence de la mer
Il est au plus profond de soi,
Une mer intérieure, silencieuse, sans lumière,
Qui vit au ralenti à l’abri de tout bruit,
Mais qui vit.
Elle vit en solitaire, sans mystère et sans vague,
Elle stagne comme une eau endormie,
Étalant sa marée aux parois de nos corps.
Mais quand vos sentiments bousculent votre cœur,
Quand tremblent les parois de votre corps et
Que ses battements gonflent alors vos veines,
Alors cette mer étale, qu’aucun bruit ne dérange,
Cette mer alors gronde et le reflux des vagues
Déborde enfin de votre corps et l’amour qui en sort
A le goût de ton âme, a le goût de tes yeux.
C’est l’envie, le désir, cette sensation d’amour
Qui m’enroule, qui m'écume,
Au plus gros de la vague, à cette tempête de plaisir
Qui ne peut s’assouvir que d’un regard tendresse,
Que de mes mains dessinant les contours de ta bouche
Que nos corps en fusion se mêlant à leur ombre
C’est cette marée haute qui a vidé nos corps.
Françoise MONDINE
Bonne soirée et douce nuit
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