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Sur une colline |
Le conte du soir |
Sur une colline, d'où on apercevait la belle ville de Venise en Italie, vivait un vieillard qui était un génie.
La légende voulait qu'il puisse répondre à toutes les questions qu'on pouvait lui poser.
Deux jeunes garçons de l'endroit pensèrent tromper le vieillard.
Ils attrapèrent un petit oiseau et se rendirent chez lui.
Un des garçonnets, qui tenait l'oiseau dans sa main, demanda au vieillard s'il était vivant ou mort.
Sans hésiter, le vieil homme répondit:
"Fiston, si je te dis que l'oiseau est vivant,
tu fermeras ta main et tu l'étoufferas.
Si je te dis que l'oiseau est mort,
tu ouvriras les doigts et l'oiseau s'envolera.
Tu vois, jeune homme, tu tiens dans ta main le pouvoir de la vie et de la mort."
***
J'affirme que vous tenez dans vos mains les semences de l'échec ou le potentiel de la réussite.
Vos mains sont habiles, mais il faut les employer de la bonne façon pour récolter les récompenses que vous pouvez atteindre.
Z.Ziglar
C'est un conte qui nous fait réfléchir sur toutes les possibilités que nous avons entre les mains.
Je vous souhaite une très belle soirée et une douce nuit.
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Bon vendredi à tous les membres du club corsica |
Coucou ! |
Pas très présente en ce moment sur le blog car j'ai mes deux petits (grands) enfants à la maison...
Ce n'est plus une histoire de couches certes, mais c'est quand même beaucoup plus d'histoires à gérer...
Légumes pour la jeune fille (qui va partir en Irlande peaufiner son anglais), vitamines pour le jeune homme qui est en première année de médecine et qui "travaille" enfermé dans sa chambre ou en fac, ou en écurie, 20 heures sur 24...la faculté n'est pas loin de chez moi !
Alors ce matin je profite de leur absence (momentanée) pour venir bavarder un peu avec vous...
Je vous souhaite une magnifique fin de semaine, une vie familiale avec des enfants en vacances qui ne sont pas trop envahissants et j'ai une pensée pour tous nos disparus proches ou moins proches qui sont partis de l'autre côté de la rivière où le passeur les a laissés, sur la rive leur tendaient les bras leurs familles et amis partis avant eux.
Nous sommes tous, nous les vivants et quel que soit notre âge, sur cette rivière mais la route est longue et la barque va doucement...
Vivons comme ils auraient vêcu
Ils sont parmi nous
Souvenons nous de leur voix, de leur visage
Ils ont laissés leur trace.
Je ne vais pas vous laisser sur cette triste conclusion de mon message, nous sommes en vie puisque je vous écris et que (peut être) vous allez me lire, donc profitons de chaque minute de cette belle vie qui nous emporte vers de multiples joies, quelques peines aussi mais nous devons croire en nous et nous les surmonterons.
Je vous embrasse toutes et tous vous mes amis virtuels très affectueusement.
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Je vous raconte une histoire |
Suivez la voie |
Une nuit sans lune, deux voyageurs se perdirent dans la forêt.
La situation était critique, des tigres affamés
rôdaient dans les parages.
Un des voyageurs était un philosophe, un sceptique, l'autre un mystique,un homme de foi.
L'orage éclata.
Soudain, un éclair zébra le ciel et illumina la nuit.
Le philosophe leva instantanément les yeux.
Le mystique scruta le sentier devant ses pas.
Vous êtes perdu dans une forêt bien plus sombre et plus dangereuse.
Ne regardez pas dans ma direction, fixez votre regard sur la voie.
Si vous vous attachez à moi, vous échouerez. L'irruption de l'éternité dans la sphère du temps est rare et, à l'exemple de l'éclair, elle ne
dure qu'un instant.
Si vous vous laissez fasciner, si la beauté magnétique d'un bouddha vous éblouit, vous vous égarez.
Regardez le sentier, suivez la voie.
(O. Rajneesh)
Bonne nuit mes amies et amis qui passez par ici;
Que votre chemin soit toujours dans la lumière.
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Le Martisor |
la légende |
Quelques centaines d'années en arrière, une vieille femme du nom de Dochia avait une belle-fille qu'elle haïssait !
Un jour d'hiver glacial, Dochia lui donna un vêtement particulièrement sale, lui demandant d'aller le laver à la rivière jusqu'à qu'il devienne blanc comme neige...
La jeune femme entrepris de le laver avec force courage mais, plus elle le lavait, plus il redevenait noir !
C'est à ce moment qu'apparu un homme nommé Martisor qui lui demanda pourquoi elle pleurait ? Elle l'informa de son infortune...
C'est alors qu'il lui dit qu'il possédait un pouvoir magique.
Il donna à la jeune femme une fleur rouge et blanche et lui dit de laver une dernière fois le tissu ... et de rentrer chez elle.
Quand elle arriva, le linge était blanc comme la neige.
La vieille Dochia n'en cru pas ses yeux.
Elle n'imaginait pas que sa belle fille puisse réussir le pari...
Soudain, elle vit la fleur dans les cheveux de sa bru.
"D'où vient-elle ?" dit la vieille, "c'est encore l'hiver".
La vieille crut que le printemps était venu sur la montagne et partit avec son troupeau sur les sommets.
En route la pluie froide la prit et arrivée à la cime, Martisor lui apparut...
"Comment te sens-tu ici en cette période si froide ?" lui dit-il, "toi qui a obligé ta bru à y venir pour laver le linge au torrent?".
Il dit à Dochia qu'il était le responsable du temps !
Et il disparut...
La Vieille Dochia resta seule dans la montagne, le gel vint et la marâtre fut changée en pierre...
Tout cela fut le travail de Martisor... et alors vint le printemps !
Depuis le Martisor rouge et blanc symbolise la lutte entre le bien et le mal,entre l'hiver et le printemps.
Bonne nuit à vous tous, bercé par cette belle légende , un soir d'automne.
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Ecrire |
Pourquoi ? |
Pour que l'âme respire. Ecrire pour qui, pour exister, écrire sur un papier et écrire sur l'écran, écrire sur les murs à reculons, écrire pour l'avenir, écrire encore pour retenir les mots, écrire juste pour rire, pour compter les mots, vous donner une tape dans le dos, écrire enfin vous savez bien !
Écrire pour ne pas être seul, écrire regardez bien, écrire comme on marche pour laisser l'empreinte de ses doigts, derrière soi, écrire comme on regarde comme on voit, écrire enfin, dans la lumière, dans l'obscurité pour mieux regarder, écrire pour respirer, écrire pour la première fois sans redites, écrire, comme de son stylo, pour la première fois, on trace des idées.
Ecrire pour vous demander ce que vous écrivez, écrire pour vous parler, sans vous connaître, avec les doigts.
Ecrire pour se masquer et puis se démasquer, écrire pour jouer, oui pour s'amuser un peu, écrire pour être deux.
Aïda Hamza
Ecrire pour être avec vous, pour relier nos idées, nos pensées, écrire pour essayer de faire partie d'un tout, d'un ensemble, d'une bande d'amies et d'amis, virtuels certes, mais vivants, présents, qui me lisent en souriant parfois, en étant émus aussi à d'autres moments, écrire pour rentrer dans un cercle fermé et ouvert, amical, pour partager joies et peines, pour lire aussi, vos blogs sont plein de vie, certains presque magiques.
je vous souhaite une très belle nuit et vous embrasse, vous tous qui passez par là.
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le paradis |
L'eden |
D'où vient ce joli mot "paradis" ?
Il vient d'un vieux mot persan, qui signifiait Jardin.
le jardin, ce paysage que l'homme fait en l'arrangeant selon son propre goût a été inventé en Perse.
Dans le jardin il y a des fleurs et des fruits, des arbres, des parfums, des couleurs...
Nous pouvons y trouver des fontaines, des oiseaux qui chantent.
En Perse l'eau était très précieuse car dans ces régions, sans eau, il n'y aurait pas de vie.
En Perse les palais s'ouvraient sur de merveilleux jardins intérieurs qui apportaient la fraicheur à travers des pavillons sans murs.
Dans ces jardins paradisiaques il y avait des orangers, des citronniers qui embaumaient l'air.
La fraicheur de l'eau , l'ardeur du soleil, le ramage des oiseaux font partie de ces contes racontés par de vieux serviteurs pour distraire de petites princesses.
Qui sait si une de ces princesses ne s'appelait pas Shahrâzâde ?
Bonne soirée à vous toutes et tous qui passez sur mon blog.
L'image de ce jardin est une image du net.
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