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| Trad Scission: Tra-Duire et/ou Tra-Hir....en suspension |
| Eternel tiraillement coupable, schizo-freinage face à la modernité, à ce qui arrive com-mode sur un rivage à ban donné...Rejet au loin rapide et soudain - rupture - d'une posture Amish, on ne s'embarrasse pas, on prend tout, sans réfléchir...
On en demande encore...et quand on a tout donné, qu'on a tout rejeté, les meubles anciens, qu'on a recouvert la terre battue qui nous faisait cracher, les toilettes au fond du jardin, qu'on a été à l'école alors il sera temps à la génération moins gênée aux entournures, assise sur un trône avec l'électricité de revenir sur l'acquis, d'invoquer l'inné, de buffoner la vie des alentours, de revenir à de l'endémique, de retourner les moins en plus et vice versa... De décrier en pire, de ne voir qu'Empire mais plus de l'intérieur, mais en s'en défendant...(à suivre)...
|  photo: Cois & Bouches Bées, Bastia, 2013 | | | > Commentaire(1) | |
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| Trad Scission: Tra-Duire et/ou Tra-Hir... |
| Eternel tiraillement coupable, schizo-freinage face à la modernité, à ce qui arrive com-mode sur un rivage à ban donné...Rejet au loin rapide et soudain - rupture - d'une posture Amish, on ne s'embarrasse pas, on prend tout, sans réfléchir... |  On en demande encore...et quand on a tout donné, qu'on a tout rejeté, les meubles anciens, qu'on a recouvert la terre battue qui nous faisait cracher, les toilettes au fond du jardin, qu'on a été à l'école alors il sera temps à la génération moins gênée aux entournures, assise sur un trône avec l'électricité de revenir sur l'acquis, d'invoquer l'inné, de buffoner la vie des alentours, de revenir à de l'endémique, de retourner les moins en plus et vice versa... De décrier en pire, de ne voir qu'Empire mais plus de l'intérieur, mais en s'en défendant...(à suivre)... | | | > Commentaire(0) | |
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| Cristu l'hà cacciatu a mani di capu*... |
| Improtégé un instant par la main de Dieu, il a perdu la tête - pardonnez-le... Il n'avait pas toute sa raison, d'autres raisons ont sonné l'oraison...Le temps d'un geste malheureux, immonde - hors de ce monde... |  Enfin le pire a été évité...
Photo: Oeil pour Noï, Bastia, ott.2013
Et d'où Jésus a repris la main, enfin! - la remise au-dessus d'une tête qui un instant était dégarnie de raison et de religion...et sans religion on tombe vite dans la fatwa! ah tiens donc, c'est étrange comme tout s'entremêle... Guerre et Paix...si il y en a ailleurs qui se demandent si l'on peut rire de tout, il en est d'autres ici, encore, si l'on peut dire de tout...balbutiements de démocratie, où l'ennui est que l'exiguïté de la maison fait que tout le monde a la main plus ou moins dans le sac, d'où l'idée salvatrice du SECSs d'Icare... à commencer par le démantèlement du système balkanique des communes corses - 362 au compteur - 25 dans la vallée du Taravo, là où une suffirait pour réduire les coûts et surtout amener un contexte de démocratie - un chouïa d'anonymat côté citoyen, un pezzu d'incontrôle côté élu...sont les prémices... de la liberté d'expression, secssuelle, aux mots et aux moeurs...îles d'yeux multiples qui soulagera un Christ Civa qui n'a plus assez de mains pour éviter tous les coups de mains, de poings, de sang, sans semonce...
Mettite A Vostra Santa Mani*... (*scripture talavaise consacrée)... | | | > Commentaire(0) | |
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| Ajaccio mon Maire Sot...Mon cerceau...mon verso...ça se poursuit... |
| Les listes s'étirent, les listes s'allongent, des noms resurgissent du passé, dont on se souvient des bancs du lycée, des noms à rallonge à double détente, du père et de la mère pour afficher l'i d'entité locale... |  Scarico doit décharger ailleurs ce matin, un tour rapide du SECSs et sera de retour in Aiacciu pour les marchandises friandises du grand soir...
...Oui ces listes qui s'allongent avec ces têtes d'enterrement, longues faces reluquant sur des portefeuilles sinistériels, autant de morts-vivants, de zombies de la politique à la petite semelle dans les rues arpentant pour serrer la paluche de ceux qu'on a ignorés pendant 5 ans... Tout le monde se la sent, à qui a brouille avec le sortant, à qui ne trouve plus son compte sur sa position dans la liste - la place aux femmes, intercalées entre deux hommes, certains sandwichés et squizzés n'apprécient qu'à moitié leur moitié d'humanité avec qui il faut désormais compter...On resserre gauchement les rangs à droite, on la soigne pour éviter les coups des tas de mécontents, on soigne surtout le Milieu et l'arrière gauche, entre m'en foutisme et footisme ainsi va la politique aiaccine... Comme dit le maire de Coti-sur-Seine: "le plus important c'est l'assainissement" ... c'est sûr il est des affaires pas très claires où dans d'autres lieux et d'autres temps on serait déporté au Pénitencier... Les fractions larvées rouges, khmers verts se lézardent face aux appétits perso, crises de foi et jaunisse inconstance de circonstance... Quant au maire sortant des tunnels trous à rats de la 4 voies c'est par là trou de souris qu'il espère aspirer les voix en trafiquant l'isoloir des Salines comme on lave les moutons dans les bacs contre la fièvre cataracte: Plan Terrier pour cages à lapins atteintes de myxomatose, vision des plus étroites et obsolètes voies dures pour humains quand ailleurs, à cette heure, c'est la voiture qu'on enterrerait pour laisser une dalle franche à fleur du quartier pour profiter du bord de l'eau - apparemment à Ajaccio on n'a pas les moyens de se payer des urbanistes du XXI ième siècle...Si l'on avait qu'un train de retard, non bientôt c'est d'une gare... Enfin tout ce lancement à grands bruits, ces listes de nouveaux anciens combattants d'arrière-garde, qui n'ont jamais su trancher, qui n'ont pas vraiment de positions, ni d'opposition - entre rien et rien difficile de faire la différence - on en revient à des fictions de factions, surtout à des histoires de personnes, parfois même de fesses où Ajaccio serait une callgirl qu'on remettrait sur le trottoir...Idée: et si on faisait un golf au Fino, dans la zone humide et les jardins pour numides...?... Photo: Boogie Ajaccien, oct.2013
Com obituaire de JJA: Salute o Scarico, même pas mort ! Maintenant que te voilà exempté de chrysanthèmes par la racine, on va pouvoir enfin passer aux choses sérieuses. La politique ajaccenne, voilà un beau spectacle qui va temporairement détourner les ctoyens de l'essentiel. Et puis ils ont furieusement besoin d'un maître pour les opprimer, de façon plus ou moins humiliante, sous couvert de démocratie. De la Servitude volontaire, écrivait déjà le jeune Etienne de la Boétie, au milieu du 16 ème siècle. En finira-t-on un jour ? JJA (30/10/13 12:39)Et comme me le dit une dame qui m'est très chère, NON, ils ne veulent pas que ça s'arrête, tant qu'il ya à manger pour tout le monde, mêmes des miettes ils viendront picorer dans la main du grand mannes-itou...au nom du père du fils et du ceint d'esprit... | | | > Commentaire(1) | |
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| Ajaccio mon Maire Sot...Mon perso...ça se décline... |
| Photo: Ajacciens parlant politique au Diamant, oct.2013... Les listes s'étirent, les listes s'allongent, des noms resurgissent du passé, dont on se souvient des bancs du lycée, des noms à rallonge à double détente, du père et de la mère pour afficher l'i d'entité locale... |  Scarico doit décharger ailleurs ce matin, un tour rapide du SECSs et sera de retour in Aiacciu pour les marchandises friandises du grand soir... | | | > Commentaire(0) | |
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| Vive la TousSaint, AllSaints, Holy-wen Halloween Settimana Santa |
| Semaine sainte et ô combien bénie des Dieux, temps du recueillement où l'on va fleurir les tombes de ses morts ou d'autres portent leur croix habillés en cucul clan et font la côte au tourisme automnal aux marchands du Temple - une expiation pour les malfaçons qui fissurent le temple de leurs existences... |  Trêve du bellicisme, des pensées mauvaises, tuttu pà a paci, où l'on espère vaincre le signe indien et sortir de l'image d'une réserve apache...
Photo: Sa Vitia Sarda, SuperStrada, Costa Rei, ag.2013
Honorer ses ancêtres par le coeur, au plus profond de soi, assembler toutes les pensées qui nous sont venues toute l'année et le leur donner - vilénie s'il ne s'agit que s'agiter à la porte du cimetière que de se montrer et de couronner le tout de la plus belle gerbe...
Aujourd'hui Bastia - toujours en avance, un pied dans la tombe - annonce le premier incinérateur! Quelle accomplissement, oraison funèbre de l'attachement insulaire à enterrer ses morts, on brûle toutes les étapes même la dernière... LEs nouveaux cimetières seront relégués au revers des villes, face à des bourbiers, leurs sites naturels d'antan lotis de plus belle... La morgue en vogue du côté des cigarettes du Vazzio attend elle aussi d'agrandir son hangar en usine à trépas qu'on nous fume quand nous fûmes et que l'on se mêle à la fumée de la chaleur émise par la ville... Il n'y a pas de fumée sans feu de joie, ici en Corse le temps a été rattrapé définitivement - feue la Mort...
D'aucuns nous le savons déraperont, en disant qu'il n'y a plus rien de sacré, mais il s'agira d'entendre là que le blasphème est d'en parler ainsi, ici, et que Scarico serait bon illico pour l'incinérateur - un ciné-narrateur secsuellement pas clair, pas d'ici et traître à la foi(s)... | | | > Commentaire(0) | |
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| FATWA d'OMERDA |
| Dans moins d'une heure l'inexprimée Mmmm serasse déclenchée - grande bouche l'oeuvrera couleuvre coup bas en louzedé, appel ommedya, au fisc du tourisme, a l'intelligentsia (non ça y en pas avoir au rayon gamma où omo lave plus blanc) la manip maestrale du zélu sur vassalu au garde à voi aura fonctionnée... |  Maizun peu di storia prima tamanta fare!
toute proportion gardée mais justement ici au nombre d'hab itinérants sur ce confetti de terre et suivant une telle obédience, c'est bien une réaction hypertrophiée d'enchaïnés à laquelle on assiste pour un bon mot, un billet doux mal interprété, mal pris stinzé par un tiers état muni de 6 pales hélitreuillé six fois dans son siège. Scarico avait été prévenu en se déclarant à des échéances déchéances électorales paesane, villaines, îloise ou archipélagique qu'il y aurait des coups - je n'y croyais pas, je n'y crois toujours pas après plusieurs déjà assénés (du classique, les impôts, la petite délation surfrançaise qui court dans nos campagnes), du dénigrement professionnel, de la blackboule pour les corneilles et puis du ressort en déclenchant les fusibles double détente détournée avec médication à la pluie d'un bouton dont on ne saura lier la clause à l'effet...Cousu de fil blanc pourtant...
Chi posa Mal pensa - ils n'ont que ça à faire : gérer leur propre affaire, leur carrière, leur état civil se confond avec leur étatisme personnifié...A quand dans ce pays d'Ancien Régime des mandats limités à 2? Mais on parlait fatwa...
FATWA: Voici celle émise à l'encontre de Salman Rushdie « Au nom de Dieu tout puissant. Il n'y a qu'un Dieu à qui nous retournerons tous. Je veux informer tous les musulmans que l'auteur du livre intitulé Les Versets sataniques, qui a été écrit, imprimé et publié en opposition à l'Islam, au prophète et au Coran, aussi bien que ceux qui l'ont publié ou connaissent son contenu, ont été condamnés à mort. J'appelle tous les musulmans zélés à les exécuter rapidement, où qu'ils les trouvent, afin que personne n'insulte les saintetés islamiques. Celui qui sera tué sur son chemin sera considéré comme un martyr. C'est la volonté de Dieu. De plus, quiconque approchera l'auteur du livre, sans avoir le pouvoir de l'exécuter, devra le traduire devant le peuple afin qu'il soit puni pour ses actions. Que Dieu vous bénisse tous. » (Ayatollah Rouhollah Musavi Khomeini) Dio Salva Regina et qu'il vous bénisse tous...
Scarico n'a JAMAIS été intimidé, au contraire plus on le menace plus il revient à la charge, Scarico respecte la vie à l'exception de la sienne qu'il est prêt à donner en pâture aux chiens... si le combat en vaut la peine...il regrette seulement la peine à ceux à qui il serait ainsi ravi...
Photo;Prisgionere, CarloForte, VII2013
Tic, tic, tic , il ne reste que quelques minutes, avant l'expiration,j'ai bien fermé le gaz mais jamais plus l'intranquillité à jamais volée... | | | > Commentaire(0) | |
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| Un Jour de Silence |
| Une Marche blanche |  Omerta et paradigme de la clandestinité: l'honnête homme doit rester dans l'ombre, se faire petit, se taire et se terrer...
Les grands hommes Politiciens affairistes et dynastiques mandatés à vie, les Sgio, les Mafieux mandatant la mort, ont l'exclusivité de l'espace public.
Lamentu mais tous s'en accommode...
Scarico sent l'occis-gène au-dessus de sa tête, l'oxygène se raréfier et s'en va chercher un peu de ville en Sicile, un peu d'Art aux Baléares et pour la Morsica on pourrait réintroduire la langue télégraphique...
Et la danse du Morse ferait le tour de la Terre...
Com codé de JJA (attention une vraie phrase est encodée, à votre morse les mordus de les cris...):Bravu o Caru Scarico, Icarien sous Damoclès, citoyen sous Tranxen, dans cette asphyxiante tempête optons pour le codage : 01001100011001010010000001110011011000010110011101
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00100000011010000110000101101001011011100110010100101110 JJA (29/10/13 11:32)
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| L'Icitude a chassé la Qui-es-tude... |
| Non qu'il y ait eu quiétude à l'époque révolue des casatte - noms de familles - où l'individu n'existait que par, dans et à travers la famille et notamment le patriarche; l'icitude était plus vague pour des populations encore pour beaucoup itinérantes - tres-passer pouvait être délicat en tout point des propriétés d'estive, domestiques, du village en piémont ou in a piaghja "aller sur quelqu'un " en corse a'nantu, - et pour qui n'y était pas le bienvenu notamment!...Un ici axé sur la vallée - la pieve... |  Braver et enfreindre l'interdit, "marcher sur lui", sur sa tête sur son corps était vécu comme une déclaration de guerre...
Aujourd'hui ces considérations s'estompent avec une agriculture moribonde, la déprise quasi totale, déjà deux voire trois générations parties du village, dans la fonction, à la ville ou plus loin Marseille,Paris, les colonies...Des jeunes oeuvrant désoeuvrés à créer s'inventent des postes fixes aumônes étatiques pour fonctions fictives - l'Empire n'est plus sinon des jeux pour ceux qui préfèrent les chiffres aux lettres, l'Afrique au tricot - mannes de l'Europe pour occuper la décadence des vitelloni... Partage des eaux troubles entre scabreux mafieux et "élites" des services fonctions publiques décentralisées...
L'icitude prend le dessus quand le lieu - locu - déterminant l'ici, n'est plus qu'un terrain domestique pour planter la maison comme on l'aurait in Aiacciu ou à Trifouilles-les - Gonesses;on a tué la géographie, le paysage anthropisé agricole aussi, la terre est en jachère, les corps et les esprits itou, sans imagination - station de je et playstation, heaume de cagoule et home cinéma, libre avec le calibre, on joint le futile au désagréable, ça file le train train avec de temps en temps un rail - ça se fait son cinéma... Mortifère sur les vestiges des cimetières où des hommes ont trimé sang et eau...et désormais sur le dos de leur mémoire - mei mori/mes morts lit. - on se gorge de gloire ancestrale dans l'obésité d'un far-niente indécent... ça cherche à descendre l'autre pour surmonter l'impuissance que ça ressent au fond de soi, ça s'épile de peur d'être pris pour ce que ce n'est plus tout en le revendiquant à corps et à cru avec une saisonnière - heureusement il y a encore des hommes ici et d'autres qui arrivent...et quand les afghans, les kurdes et les descendants des goums et des zouaves affamés remettront cette terre dans le bon sens du soc, dans l'ad hoc, avec le souk qui va avec, la Corse aura retrouvé des corses pour la mettre en valeur...Scarico écoute ébahi les propos du vieil homme qu'il trouve bien aigri et ajoute: Mais non ce n'est pas si noir, il y a toujours de l'espoir. Pfff fait le vieux, quand faudra croûter, Vraiment! on se cassera les dents sur leurs monuments, leurs mausolées isolés...ça se met en branle en meute quand le petit-cousin s'est fait rayé le bateau ou en fait on lui a simplement emprunté quelques heures sa place au port, mais quand un homme est menacé y a plus personne au comptoir..il a dû le chercher se rassure-t-on pour s'excuser de sa propre lâcheté...E Di Quale hè ? ça avait du sens du temps où il y avait survivance, solidarité, où il fallait s'entre'aider, - aiutu! aujourd'hui ça ne se fait que pour rejeter, au nom d'en être ou pas...il en est qui n'en sont pas, et si c'est pour ça ils ne veulent sûrement pas en être, et de ceux-là il en est qui n'ont pas à rougir du respect qu'ils ont pour la terre et les vrais hommes qui y vivent encore... Pour Scarico qu'il soit d'ici ou d'ailleurs, ce qui compte d'un homme est ce qu'il fait ICI et prépare pour ceux qui le suivront pour qu'il y ait de nouveau de la vie...Icare est ce milan qui survole le matorral maculé des restanques et des ricce abandonnées, revenu après des lustres, chassé il revient symbole des îles, du SECSs et de sa vitalité - on étouffe! De l'Air! De l'Air! De l'Air! ..il faut faire reculer le désert et la mort...Respirez! Et que Scarico nous revienne vite!...
Scarico est un homme politique de fiction, nul ne peut l'intimider, nul ne peut lui faire baisser sa plume - parce qu'il n'existe pas, nul ne peut le faire taire, en deux secondes, 24 ou même 48heures; il ou elle, car de son sexe on ne connaît rien, trans ou même pluriel " je suis aux mots, ça vous dérange?" qu'allez-vous me couper ô métayers!? Et je ne pourrais parler des Sgio, et des hommes qui trustent l'espace public, le parasitent dysentriquement décades après décades grâce à vos accolades renouvelées dans l'isoloir? Vivement Elice Island, prendre le recul nécessaire pour battre en brèche le retard démocratique, ouvrir nos horizons, ouvrir nos coeurs...pour nos enfants y a bien meilleur que d'éliminer un spin doctor... Photo: Smile, Bruxelles, VII2012
Comme en Terre sans GPS de JJA:O Caru Scarico, cas libre s'il en est, pour tirer vers le haut les quelques Icissiens qui ont délibérément tourné le dos à la culture de la mort. Il faut fertiliser cette terre, et pas seulement avec des cadavres. S'en sont aperçus souvent les plus jeunes, des ils et des elles, des îles et des ailes, pour aller voir ailleurs et surtout autrement. Qui dit que l'autre ment ? Le meilleur moyen de reconquérir notre "locu", notre lieu proche, celui qui nous "fonde", c'est d'aller voir ailleurs s'il y est. Changer d'approche et se rendre compte que tout ce que nous faisons et ce que nous sommes est le produit d'échanges nombreux et en perpétuel mouvement. Bref la liberté ne consiste pas à obéir à ce que les objets nous dictent, et ce que les habitudes seules nous apprennent. La sclérose est mauvaise conseillère. Voilà qui demande certes un peu de travail et de curiosité, mais l'être humain n'est pas seulement un presse-fauteuil ou un pousse-caddie. Je me refuse à y croire. JJA (29/10/13 11:20)a quoi j'ajouterai le proverbe corse que je laisse la peine aux locu-teurs savants de retraduire ou retrahir: "Qui est assis (longtemps) ne fait rien de bien/pense mal" et je ne donne qu'en version faunético-talavese "Chi posa Mal pensa"...
Ecce Homo e Nietzsche era Corsu de JJA: Parce qu'il y a lieu ici de prouver que de grands esprits peuvent se rencontrer, voici une réflexion de F.Nietzsche, tirée d"Ecce Homo" : "Rester assis le moins possible ; ne se fier à aucune idée qui ne soit venue en plein air pendant la marche et ne fasse partie de la fête des muscles. Tous les préjugés viennent de l'intestin. Le cul de plomb, je le répète, c'est le vrai pêché contre l'Esprit." JJA (29/10/13 15:07) | | | > Commentaire(2) | |
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| Ô Père hâtif opératif...quelques kilo de programme à ne pas perdre ... |
| ...Contre l'obèse vide/bide ambiant...
Scarico ô père hâtif d'un SECSs en d'eux venir qui doit surgir du nous noeud des îles et des ils assemblées en puzzle, encorps isolées...Mona Redmoor opératif d'un programme à kilo ankylosés que JJA pondère et pèse la pesanteur allège sur la fenêtre de l'avenir... |  Modère le poids des mots, d'un aloi de Saint-Eloi...
Photo: le SECSs d'ICARE, Via San Saturnino, Cagliari, maggio 2012
Assure la légèreté, mesure la force G, met en musique la gamme et le programme des envolées lyriques et idylliques, l'Icare lèche les lèvres des nuages qui champignonnent aux yeux qui nous surveillent, on vit dans une sur-veille, tout le monde cherche le sommeil... La Sentinelle est maudite d'annoncer le moindre danger, depuis le sac de Sartè on ne veut plus en entendre parler, les tours sémaphores ne sont plus de rigueur quand on se check et double check soi-même tout en faisant pâle figure devant l'écran de son ordi bien ordonné et dans sa chaire et dans sa charité....
Yagarou a hurlé, goupil dégoupillé, sortis du puits insondable pourtant topographié par les instituts et les audits oeuvrant à la démence de la dépense - et de la dépendance... A l'illusion de l'individualité indépendance, le projet opératif serait de donner un horizon d'îles unies, un cercle de terres émergentes ouvertes par l'ambiance même de leur environnement tautologiquement établies de vague et de vagues depuis les nues, du fond des âges...
Yagarou a hurlé stinzé par le G.I. local et sa générale issue qui vous accule dans l'impasse de l'Oriu, à peine dégrotté il faudrait retourner aux abris at-home-iques, se contenter de son home cinéma très poussé sur le mur du salon étiré repousser les limites de l'imite-monde par le trichement des ondes...
Scarico les bras coupés, la parole déchirée, beugue un temps, peau étire son né-moi, s'inspire de ses mots magmatiques, débloque et déblogue, il recherche le chemin d'un écrin d'écrits sains d'esprit, refuser d'être raser père à tifs où les cheveux symbolisent la folie de ses idées, qu'elles ont droit de cité autant que les désirs ratés de tout un chaquant m'ordant - 7 milliards de mendiants - la vie sur terre...
Ne vous en fêtes pas e-lecteurs, cannibales lecteurs, le silence de l'agneau retrouvera ses stances, et insistances, le calme de l'exit-stance n'est pas pour demain, scansions ou raisons - l'oraison n'est pas de ce monde...
Com au CoupeCoupe de JJA (modéré!) Tiens bon Caru Scarico. Je rappelle que ceux qui t'en veulent d'en avoir trop dit sur certains agissements, ou de s'être reconnus dans quelques indices, sans jamais les citer, ceux là doivent faire leur examen de conscience, pas toi. je remarque d'ailleurs qu'aucun ne s'exprime ici, et ne le fera sans doute pas tant il est vrai qu'il est plus difficile de faire une phrase que de choisir (une autre forme de débat). Tu n'as fait que relayer une observation, avec ton style bien à toi, pour décrire une situation qui devient générique à force d'habitudes, quotidienne à force de passe-droits, régulière à force de grands écarts avec la loi. Toute personne sensée ne peut que t'encourager à persister dans cette option, même si elle est risquée. Et pourquoi devrait-elle l'être ? JJA (28/10/13 17:45) | | | > Commentaire(1) | |
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